Extrait:
- d’abord, les jeunes acquièrent leurs connaissances et visions d’histoire en dehors de la classe tout autant, sinon plus, que dans l’enceinte de la salle de cours;
- ensuite, les jeunes oublient plus ou moins rapidement la plus grande partie de ce qui leur est transmis en classe;
- enfin, les grands récits nationaux, univoques mais pratiques, restent de puissants foyers et vecteurs de construction de sens, voire de prêts-à-penser ou de prêts-à-croire, pour les jeunes à la recherche d’un sens diligent qui leur permette de vivre efficacement dans la société (ou tout simplement de passer l’examen avec succès!).